François Sureau, Le chemin des morts
Gallimard, 56 pages.
Bref récit autour d’une décision prise par un jeune conseiller d’Etat à propos d’une affaire de droit d’asile.
Le contexte renvoie à l’Espagne port-franquiste et à la situation des réfugiés basques.
Superbement écrit, le livre rappelle que derrière toute décision d’organisation, il y a toujours des histoires individuelles.